Nous informons les tunisiens résidant à Toulouse et dans le Sud-Ouest de la France que le service d’octroi et de renouvellement de la Carte d’Identité Nationale est disponible à partir du 13 Avril 2017 grâce à une équipe de travail mobile au Consulat de Tunisie à Toulouse. Ce service durera 20 jours.
السبت 28 ماي 2016، تحاور ممثلون عن جمعيات ناشطة في مجال التونسيين في الخارج من تولوز, بو وتارب مع: السيدة ناجية بن عبد ألحفيظ، النائبة بمجلس نواب الشعب عن التونسيين المقيمين في فرنسا 2, السيد سامي سيك سالم قنصل تونس بتولوز السيد علاء الدين بن طاهر، المسؤول الاجتماعي بقنصلية تونس بتولوز الإطار: سبق هذا الاجتماع […]
Samedi 28 Mai 2016, des représentants d’associations de Toulouse, Pau et Tarbes se sont entretenus avec:– Mme Néjia Ben Abdelhafidh, députée de l’Assemblée des Représentants du Peuple, représentant les tunisiens de la circonscription France 2,– M. Sami Sik Salem consul de Tunisie à Toulouse,– M. Alaeddine Bentahar, attaché social du consulat de Tunisie à Toulouse.afin de déabattre […]
Nous condamnons l’acte de terrorisme contre un bus de la Garde Présidentielle et nous présentons nos condoléances aux familles et aux proches des victimes et notre solidarité avec le peuple tunisien.
Des centaines voire des milliers de Tunisiens à l’étranger n’ont pas pu voter lors des élections législatives des 24, 25 et 26 octobre 2014. La raison invoquée le plus souvent par les responsables des IRIEs est que ces personnes n’étaient pas inscrites sur les listes électorales. Or il s’est avéré, après vérifications, que l’écrasante majorité d’entres-elles avaient effectué les démarches nécessaires et se sont inscrites sur les listes. La plupart d’entres elles avaient d’ailleurs voté en octobre 2011.
Nous, membres de l’association Jasmin Tunisie Liberté Démocratie, acteurs de la société civile tunisienne à Toulouse, dénonçons les faits suivants relatifs à l’IRIE France Sud : manquements concernant la campagne des élections législatives tunisiennes de 2014 et manquements vis-à-vis de JTLD.
L’association JTLD dénonce le manque de moyens alloués aux IRIEs (Instances Régionales Indépendantes pour les Elections) à l’étranger et les mauvaises conditions d’inscription des tunisiens dans la circonscription France 2, malgré les délais très courts. A part le dysfonctionnement de l’application dédiée aux inscriptions au consulat les dix premiers jours, aucune communication sur ces inscriptions n’a été faite et nous réalisons, par nos actions sur le terrain, que la majorité des tunisiens résidant à Toulouse ne sont pas au courant de ces modalités. De plus, la liste des tunisiens inscrits en 2011 demeure irrécupérable et ne peut donc pas être exploitée.
La motivation et la disponibilité des membres de l’association JTLD et de la société civile à Toulouse se heurtent au manque d’anticipation de l’IRIE, au manque de moyens financiers et à la très mauvaise organisation autour de ce rendez-vous crucial, et ce malgré les aides financières dont dispose l’ISIE (Instance Supérieure Indépendante pour les Elections).
L’association JTLD :
• Condamne fermement les circonstances (de cette interpellation) et toute la violence que Azyz a subi, selon les dires de son père qui a pu le voir le soir de l’arrestation, (cf témoignage Mosaqiue fm), et plus généralement, tous ceux qui sont ont subi le même traitement;
• Exige que les forces de police respectent les droits humains lors de l’arrestation des individus et leur droit de faire appel à un avocat, conformément aux articles 24, 27 et 29 de la constitution ;
• Appelle la société civile à maintenir les débats et la mobilisation concernant cette loi et surtout de son utilisation comme prétexte pour arrêter les personnes qui représentent un danger pour ceux qui dirigent ;
• Appelle les députés et les responsables politiques à réformer la loi n°92-52 du 18 mai 1992 relative aux stupéfiants ; loi très sévère et répressive qui existe depuis l’ancien régime et qui a toujours été un moyen de pression sur les personnes qui dérangent le système.
En espérant que cette affaire soit traitée avec plus de transparence, dans le cadre du respect des droits de l’homme et qu’elle soit porteuse d’une réforme effective concernant cette question.